Me gusta esta construcción dramática. El aspecto voyeur del flaneurismo de Baudelaire me trae un poco al fresco. No diré que me resulte enfermizo, pero prefiero el paisaje de la ciudad a palo seco, sin nadie merodeando por los alrededores. No estoy hecho para el espionaje amateur. El hombre del sombrero que aparece repentinamente en escena, es apenas una mancha y sirve sólo para hacer mayor la soledad de la avenida.
"L’avenue Mercédès est une des plus nouvelles voies de Passy. Elle a la forme d’un T. Une muraille la borne à l’une de ses extrémités, tandis qu’à l’autre se trouve un gouffre effrayant. Presque toujours déserte, l’avenue est la remise des rafales qui entrent et sortent en se bousculant, en sifflant lugubrement, et les rares passants qui s’égarent en cette turbulente compagnie, s’ils tiennent leur chapeau de la main gauche, font avec la droite le signe de la croix."
No hay comentarios:
Publicar un comentario